• 20 ème pensée

    Le sentier en s'ouvrant laissa passer tant de silence

    que ni les flancs de la montagne ne sont parus

    ni nulle fleur ;

    seul l'espace immense où sont le vide et la lumière

    fut soudain présent de part en part ,

    combla le coeur ,

    et lava les yeux presque aveugles

    sous la poussière du chemin

    de tant de beauté...


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